“Li Beirut“ Fairouz

“À Beyrouth, De mon cœur un salut à Beyrouth Et des baisers à la mer et aux maisons, À un rocher qui ressemble Au visage d’un ancien marin Elle est, de l’âme du peuple, du vin, de la sueur, du pain et du jasmin Alors comment est devenu son goût Un gout de feu et de fumée ? Beyrouth, une gloire des cendres À Beyrouth, le sang d’un enfant sur sa main Ma ville a éteint ses lumières Elle a fermé sa porte, elle est restée, le soir, toute seule Toute seule la nuit...“
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