Cheikh Hadj Mahfoud accompagné de l’orchestre de la radio sous M. Fekhardji, en 1952. Nouba Raml may

Cheikh Mahieddine Hadj Mahfoud (1903-1979), le murmure d’une musique toute de tendresse ingénue et discrète. Les amateurs de l‘art vantent, à juste titre, le timbre de la voix de Cheikh Mahieddine Hadj Mahfoud, les sentiments avec lesquels il dit la mélodie, et les brillants ornements dont il enrichissait sans trop alarmer le goût et sans trop abuser de certains moyens expressifs. Il tenait cela de ses maitres particulièrement Cheikh Mahmoud ould Sidi Said dit affectueusement Qalb Dellâa ou encore Cheikh M. Lakhal qui, à l’association « El Widadia », créée au début des années 30’, lui donnèrent le gout de l’appréciation et de l’interprétation musicale. Tout au long de son parcours, émaillé de rencontres, il a côtoyé les grands noms de la chanson algérienne ; M. Lakhal, Mahmoud ould Sidi Said, M. Fekhardji, Bencherchali… auprès desquels, il va apprendre, puiser des connaissances et enrichir son ré
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