QB N°1 | Le Risque de Raconter Constamment la Même Histoire de Soi - Franck Lopvet

Franck Lopvet partage son interprétation de l’adage “Comme on fait son lit, on se couche“. Cette phrase, souvent comprise de manière littérale, cache en réalité une profonde signification métaphorique. Pour lui, elle symbolise la façon dont nous façonnons notre existence à travers nos propres interprétations de la vie. Selon lui, chaque personne a le pouvoir de raconter sa propre histoire, créant ainsi le sillon de sa vie. Ce sillon correspond au lit dans lequel nous couchons nos expériences et notre vécu, et dans lequel nous préparons notre mort. **La liberté vient de la réévaluation de notre histoire personnelle** Le danger, c’est que nous pouvons nous retrouver coincés dans nos propres interprétations. C’est là que le véritable pouvoir réside dans le fait de raconter notre histoire : être capable d’élargir notre perception et d’éviter de nous enfermer dans une vision unilatérale de notre existence. Si nous parvenons à cela, alors nous pourrons vivre une vie de liberté. Idées clés de la vidéo : 1. Notre interprétation de notre histoire de vie détermine comment nous vivons et finissons notre vie. 2. Il faut éviter de raconter constamment la même histoire de soi, pour ne pas se fermer à de nouvelles expériences et perceptions. ---- SUR CE PROGRAMME ---- Cette vidéo amorce une série de Questions de Base (existentielles), posées à Franck. Néanmoins, avant de répondre aux premières de mes questions, au début de la session d’enregistrement Franck partage sa mise à jour de l’adage “Comme on fait son lit, on se couche“ et propose sa compréhension de l’idée de “verbe créateur“. A la fin, il explique son intention auprès des personnes qui viennent le voir. Arnaud ----- Plus d’information sur la pensée de Franck et sa pratique Le site de Franck Lopvet : Les sous-titres peuvent présenter quelques erreurs. #francklopvet
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