🌞 Devenir réellement libre, sortir de nos prisons psychiques, des croyances et conditionnements

💎 Quelques éléments de contexte avant l’émission du lundi 25 septembre 2023 en direct à 20H L’image qui illustre cette émission s’intitule « Une reine ». Il s’agit d’une œuvre de Hanna que je remercie infiniment et félicite pour son talent. Depuis hier, je me sens proche de Satprem. L’affaire n’est pas nouvelle pour moi, l’Être spirituel de cette personne m’inspire bien souvent et sa présence à mes côtés est une ressource très puissante. En 2007, lorsque j’ai lu son livre « Le mental des cellules », je n’ai pas compris grand-chose. J’ai seulement senti, sans savoir pourquoi, que je me sentais concernée, qu’une compréhension non rationnelle se posait dans mes cellules. Ce n’est que 12 ans plus tard que j’ai vraiment rencontré Satprem et avec lui Mère et Sri Aurobindo. Je vois dans ces 3 rencontres, ma sortie de prison, ma libération. Et ces jours-ci voici que ces 3 enseignants qui éclairent mon chemin sont encore très présents. Le 17 novembre prochain sera commémoré le 50ème anniversaire du départ de Mirra Alfassa, dite Douce Mère, de son corps de chair. Au cours de ce demi-siècle, la conscience de l’humanité a continué à avancer et sans aucun doute Mère a continué son œuvre en aidant chacun d’entre nous qui le veut bien à se souvenir de la divinité de nos cellules. J’ai écouté avec gourmandise et passion le message essentiel de Satprem, hier et ce matin dans cette vidéo dont la qualité sonore demande attention : Tout ce que Satprem dit de sa perception de l’être humain est en phase avec ce que je ressens, ce que je constate en animant des séminaires, en rencontrant mes frères et mes sœurs de la Terre. J’aurais envie que le monde entier entende ce qui est transmis ici et qui résonne si fort dans mon corps. Aujourd’hui, quelques jours avant la St Michel et la pleine lune, en ce tout début d’automne, je veux dire que la nouvelle espèce humaine qui marque l’aboutissement de l’être de transition que nous avons été, est en train de naître du corps de chair qui manifeste l’Esprit, en train d’émerger de la planète qui est constituée d’Esprit. Il m’est impérieux de dire et redire que ce corps est de l’Esprit densifié, que son opacité est le résultat de l’emprisonnement par le psychisme grâce auquel nous faisons l’expérience de la dualité. Il m’est indispensable de clamer que la conscience de notre divinité peut désormais faire craqueler la gangue mentale qui enferme le divinhumain qui est prêt à naître puisque le souverain est reconnu, formé par des siècles et des siècles d’exercice du libre arbitre. En écrivant ces mots cet après-midi, je constate que le corps est encore empêché de s’expanser vraiment par les limites imposées par ma personnalité, les croyances sur qui nous sommes transmises par les parents, les écoles, les dogmes de toute sorte. Je sens bien mon crâne et ma cage thoracique retenus dans leur essor par les conditionnements qui insistent pour maintenir l’inéluctabilité de la souffrance et de la mort. Ça tiraille, ça bagarre, ça combat : le psychisme fourbit ses armes depuis longtemps pour garder ce corps prisonnier des carcans et au moment où un pas collectif se franchit dans la conscience de l’humanité, il fait pression, pauvre pantin humain qui se mesure à l’évidence du divin ! Pour que le corps vive totalement, librement, sa nature Divine, la reine que je suis, les souverains que nous sommes tous et toutes, nous devons autoriser l’étincelle de notre conscience remplie de JE SUIS, à mettre le feu alchimique en route dans tous les narratifs qui ont pris la place de la Vérité. Pour ce faire, nous sommes invités à voir nos prisons, nos falsifications de nous-mêmes, nos aliénations. C’est un processus qui requiert du courage : voir le tableau de bord du corps qui indique la vérité, au lieu de croire l’histoire que nous nous racontons sur nous-mêmes relève de la prouesse, tant la tendance générale nous pousse à continuer le ronron des repères bornant le chemin des humains sur la Terre. Il y a une révolution à faire, un regard de vérité à porter sur soi sans plus aucune image à défendre, un lâcher-prise qui nous fait vivre l’instant présent dans l’ignorance totale de l’expérience inédite qui se présente. L’étincelle de notre conscience peut ouvrir le corset de nos croyances, car le corps sait et nous sommes prêts à avoir la sagesse de vivre avec ce qu’il nous transmet. Gratitude infinie au plan de l’Esprit pour l’inspiration reçue, gratitude infinie à tous les humains présents en direct ou en différé pour votre participation active. Merci de votre confiance Marie-Odile