Hugo Clément : décou­vrez son surnom peu sympa­thique dans son ancienne boîte de produc­tion

Mercredi 3 janvier, le jour­nal Libé­ra­tion a dressé un portrait peu flat­teur du jour­na­liste Hugo Clément. Le repor­ter frai­che­ment débarqué à Konbini News aurait un ego surdi­men­sion­né… Avant de débarquer comme repor­ter poli­tique pour Konbini News, Hugo Clément travaillait avec Yann Barthès, d’abord dans Le Petit Jour­nal sur Canal puis dans l’émis­sion Quoti­dien diffu­sée sur TMC. Et si à l’antenne, l’équipe semble soudée, en coulisses, c’est une autre ambiance. Selon les (nombreuses) rumeurs et les infor­ma­tions révé­lées dans Libé­ra­tion, les rela­tions au sein de la rédac­tion ne seraient pas vrai­ment au beau fixe. A Bangumi, la boîte de produc­tion créée par Yann Barthès et Laurent Bon, Hugo Clément n’était pas vrai­ment appré­cié : « Sans parler d’un melon qui gros­sis­sait au fil de ses retweets et de ses mentions »J’aime“ sur Insta­gram“, peut-on lire. Un ego surdi­men­sionné qui lui aurait valu d’être surnommé « Ego Clément » par ses collègues. Aïe. Et ce n’est pas la première fois que le repor­ter est visé par d’autres jour­na­listes. Le 6 décembre dernier, Nassira El Moad­dem – rédac­trice en chef du Bondy Blog – a pointé du doigt les blagues douteuses d’Hugo Clément alors qu’ils étaient tous deux étudiants à l’école de jour­na­lisme répu­tée de Lille. Selon elle, Hugo Clément et son parte­naire Martin Weill lui auraient fait subir un canu­lar télé­pho­nique en 2012. La jour­na­liste s’apprê­tait à passer des tests pour RFI : “Je trouve ça hypo­crite de se faire passer pour un modèle de Tintin repor­ter progres­siste, pour le cham­pion anti­ra­ciste de la défense des oppri­més alors que ce n’est pas du tout le genre de personne que j’ai connu, a-t-elle ainsi raconté. C’est marrant comment on peut s’in­ven­ter une image, surtout quand on est érigé en star montante.“
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