Nouba maya_Orchestre station radio Alger_M. Fekhardji_Soliste-S. A. Serri_1953.

L’art musical andalou fournit un exemple frappant de cet héritage culturel et artistique qui fut non seulement partagé et protégé, mais également enrichi d’éléments substantiels combinant les textes et les rythmes spécifiques s’ajustant à chaque partie de la Nouba. Il consacre les mérites des poètes-musiciens se rivalisant en hauteur et en élégance, foi, fièvre et passion dominant leur art à travers une diversité de genres de créativité locale ou régionale de poètes aux écritures à priori divergentes, mais d’une richesse si variée introduite dans la chanson en autant de catégories artistiques de création littéraire et musicale entremêlées et qu’Abderrahmane Ibn Khaldoun (1332-1406), qui a réfléchi en philosophe, sociologue sur l’évolution des arts, qualifie de métiers (Founouns). Ces derniers incarnent un mode de vie ancestral, un profil de
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