Goethe chante le prophète Mohamed ﷺ Un poème sublime à ne pas rater…

GOETHE ❤️ MOHAMED ﷺ J’ai cherché dans l’histoire de l’humanité un homme qui en soit l’exemple idéal et je l’ai trouvé en la personne du Prophète Mohammed. Et ainsi doit se révéler la vérité et s’élever comme a réussi Mohammed à assujettir le monde entier par le monothéisme. Goethe est le plus grand poète et écrivain allemand. Il est romancier, dramaturge, théoricien de l’art et homme d’Etat. Il avait déclaré aussi : “Son coran devrait être envisagé comme une loi divine et non comme le livre d’un être humain…” « De quelque façon que nous voulions nous donner du courage, nous vivons tous en islam.“ “Vous devriez, dit Goethe, avoir étudié comme moi depuis cinquante ans l’histoire de l’Église pour comprendre comme tout cela se tient.“ Je ne veux pas examiner pour l’instant ce qu’il peut y avoir de vrai, de faux, d’utile ou de nuisible dans la doctrine ; mais, au fond, il y a en nous tous un peu de cette croyance, bien qu’elle ne nous ait pas été enseignée. DANS SON POÈME GOETHE CHANTE MOHAMED ﷺ Voyez le ruisseau des montagnes brillant de joie, comme un regard des étoiles ! Au-dessus des nuages, de bons génies ont nourri son enfance parmi les roches buissonneuses. Jeune, ardent, il s’élance de la nue sur les parois de marbre, et il pousse encore vers le ciel des cris d’allégresse. Le long de ses sentiers sublimes ; il pourchasse les cailloux bigarrés, et, comme un guide empressé, il entraîne à sa suite les sources fraternelles. Là-bas, dans la vallée, les fleurs naissent sous ses pas et la prairie s’amine de son haleine. Mais rien ne l’arrête, ni la vallée ombreuse ; ni les fleurs qui s’enlacent autour de ses genoux, et le caressent de leurs regards amoureux : il précipite vers la plaine sa course tortueuse. Les fontaines unissent : leurs flots aux siens. Fier de ses ondes argentées, il entre dans la plaine ; et la plaine, fier de lui, et les rivières des campagnes et les ruisseaux des monts le saluent avec allégresse et s’écrient : Mon frère, mon frère, prends tes frères avec toi, et les emmène vers ton vieux père, l’éternel océan, qui, les bras ouverts nous appelle. Hélas ! ils s’ouvrent en vain pour recueillir ses enfants qui soupirent, car, dans l’aride désert, le sable altéré nous dévore ; là-haut, le soleil absorbe notre sang ; une colline nous arrête en nappe immobile. O frère, prends tes frères de la plaine, prends tes frères des montagnes et les emmène vers ton père ! » Venez tous !… Et il s’enfle plus magnifique ; toute une nation porte le prince au faîte des grandeurs. Et dans le cours de son triomphe, il nomme les contrées ; les cités naissent sous ses pas ; irrésistible, il marche avec fracas ; il laisse derrière lui les tours aux sommets étincelants, les palais de marbre, créations de sa fécondité. L’Atlas porte des maisons de cèdre sur ses épaules de géant : sur sa tête frémissent dans les airs mille étendards, témoins de son empire. Ainsi, mugissant de joie ; il porte ses frères ; ses enfants, ses trésors, dans le sein du père ; qui les attend.
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