Pédocriminalité féminine: ça existe aussi.

Pour celles et ceux que cette thématique intéresse ne manquez pas le film “My mother, my Abuser“ en exclu dès ce soir sur Même si cet excellent documentaire de Jean-Pierre Igoux, datant de 2007 n’a plus - après recherches - d’ayant-droits, il mérite pourtant largement d’être visionné. Bien entendu sans monétisation. Car si elle ne représente que 2 à 3% des cas, la pédocriminalité féminine existe. Des jeunes, des mères, des tantes, des grand-mères, des institutrices, des éducatrices... des femmes. Elles reproduisent, en tout point, le schéma de leurs homologues masculins. Ce sont elles aussi des bourreaux, dont les victimes se heurtent à un grand scepticisme. Face aux policiers, aux juges, à certains psys, elles doivent affronter un véritable parcours d’obstacles pour être entendues, sinon crues.L’enfant abusé subit, là, une autre forme de violence : sa parole est étouffée, sa souffrance ignorée, et ses droits bafoués.
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