Comment considérer la sûreté de la personne ?

Dans leur contrat social (DUDH) , la sûreté nous est vendue comme étant une garantie pour les personnes.. () (#:~:text=Une sûreté peut être constituée,l’obligation du débiteur principal.) Ça n’appartient ni aux personnes ni à nous.. Dans le miroir c’est l’inverse, nous sommes la garantie de cette fiducie qui ne sert qu’eux.. La seule chose que nous pouvons en faire légitimement , c’est autoriser ceux qui parviennent à se rendre créditeurs à l’égard de nos personnes, à se décharger de la créance (lorsqu’elle est bien réel) , sur ce fameux compte de sûreté.. Autrement dit si nous sommes capables de conditionner intelligemment les interactions nous seront créditeurs vis à vis de l’interlocuteur et la sûreté de nous sert pas .. La sûreté est la dernière carte à jouer dans le cas où malgré nos efforts pour être dans l’honneur commercial, ils parviennent à rendre une facture légitime, alors nous les invitons à se faire payer par la sûreté. conclusion : lorsqu’on produit un effet de droits légitime (acte2) , on coupe le lien nécessaire avec la dite sûreté , on privatise notre entité légale, donc on enlève l’emprise qu’ils peuvent avoir sur elle !! Rejoindre le Canal Télégram :
Back to Top