Louvre, Apollon de Piombino

L’art est un marché, on le sait, mais c’est un marché de dupes. Il suffit qu’un gars dans le vent dégoise en volutes des vacuités conceptuelles multicolores en prenant un air absorbé, pour qu’une œuvre insignifiante, grâce au marketing publicitaire et à l’idiotie abyssale des spécialistes et des profanes se voie propulsée au rang de chef d’oeuvre de l’art contemporain. On fait où on nous dit de faire, on adore où on nous dit d’adorer et si l’on avait dit et répété à l’homme du troupeau que Michel-Ange étai
Back to Top