Faut-il brûler tous les romans? (Avec Marion MESSINA)

Fahrenheit 451, nous avons déjà la recette de l’autodafé : Paulo Coelho, Amélie Nothomb, Marc Levy, …., les candidats au bûcher ne manquent pas (je parle bien entendu des romans). A l’ère de Netflix et du méga divertissement la question se pose réellement et de manière objective : Faut-il brûler les romans ne serait-ce que pour faire place à nos écrans plats? Oublier ce vestige bourgeois, celui qui traîne dans les bibliothèques pour frimer? Cependant, l’œuvre de Cervantès tutoie encore les étoiles, celle de Céline a donné sa voix au prolétariat et au petit peuple, et le premier livre de l’auteur que nous recevons fait figure d’anomalie dans le monde contemporain de l’édition. Candillac disait qu’il fallait être reconnaissant aux artistes de mettre des mots sur nos maux. C’est donc avec joie que nous recevons Marion Messina, auteur du Roman “Faux départ” paru en 2017, pour répondre à cette question : “faut-il brûler les romans?
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