Les coquillettes au jambon de votre dimanche soir ou les saucisses du barbecue estival ne pourraient arriver dans notre assiette sans avoir causé (entre autres !) la déforestation de l’Amazonie et autres forêts primaires pour cultiver une quantité massive de soja et de maïs qui viendront nourrir sous perfusion les cochons bretons.
Des choses qui se passent loin des yeux, loin du cœur, mais qui contribuent au réchauffement climatique et rendent cette planète de plus en plus difficile à habiter, de manière déjà dramatique dans beaucoup de pays.
Pour manger beaucoup moins de viande mais beaucoup mieux, voilà une proposition qui fait vraiment la différence, sans forcément devenir végane ou manger de la viande cellulaire.