fiorettis du Padre Pio pour 3 aviateurs !

1944-1945. Trois soldats d’une escadrille de bombardement pendant leur dernière année de la Campagne d’Italie. Ce sujet pourrait faire l’objet d’un film mais il ne l’a pas été parce que les aventures de ces trois-là n’ont été ni sottes, ni farfelues, ni immorales. Vous n’êtes cependant pas au bout de vos surprises, parce qu’avec le Padre Pio rien n’est normal, rien n’est banal, rien ne se passe comme ailleurs. Leo Fanning vient de Cornwall-on-Hudson, à 100 km au nord de New York, Mario Avignone est de Chicago, Joe Asterita, est d’origine napolitaine, comme le Padre Pio et c’est le seul qui parle italien. Mgr Paolino, curé de leur paroisse temporaire, est très apostolique : il les aborde et leur demande s’ils sont déjà allé voir le Padre Pio, comme beaucoup de militaires étrangers en détachement dans le Sud du pays. « Qui est Padre Pio ? » interrogent-ils, car non, ils ne connaissent pas. Justement San Giovanni Rotond