ALUMINIUM - LE FILM QUI VACCINE

Remerciements particuliers au Professeur Romain GHERARDI, notamment pour la validation des propos scientifiques tenus dans ce film. Le Pr. GHERARDI est directeur de l’Unité INSERM U955 E10 de l’Université Paris-Est « Interactions cellulaires dans le système neuromusculaire » ; il est également chef du service d’Histologie-Embryologie de l’hôpital Henri Mondor de Créteil. Merci également au Professeur Christopher EXLEY ainsi qu’au Docteur Michelle COQUET. Documentaire de Philippe RADAULT, diffusé sur la chaîne Télé Bocal (canal 31 - TNT) le vendredi 11 mai 2018. Résumé : Beaucoup de vaccins contiennent de l’aluminium. Trop peu pour que ses effets neurotoxiques puissent se faire sentir, selon l’OMS. En réalité, on sait maintenant que l’aluminium ainsi injecté est capturé par des macrophages, se répand dans le corps et peut atteindre le cerveau, pour y rester définitivement. Alors, la vaccination, ça ne se discute toujours pas ? N.B. : ce film a été réalisé en toute indépendance et n’a pas pour objet de s’opposer à la vaccination. radofilms@ Erratum : À 58’’ : j’ai indiqué qu’au XXe siècle en France, on n’avait recouru à l’obligation vaccinale générale que 4 fois : en 1938, 1940, 1950 et 1964. En réalité le vaccin antivariolique a été également imposé, en tout début de siècle (1902), ce qui amène donc le total à 5 fois, et non 4 (N.B. : cette obligation est levée de nos jours). J’ai un peu vite exclu ce vaccin de la liste car c’est un fait que ce débat sur l’obligation de la vaccination contre la variole a essentiellement été mené au cours du XIXe siècle (rappelons que l’histoire de la vaccine de Jenner remonte au XVIIIe siècle) et non au XXe. Par ailleurs, toujours au XIXe siècle, des lois et circulaires assujettissaient déjà de nombreuses catégories de la population (dont, entre autres, les nourrissons, les nourrices et les écoliers) à la vaccination. Mais je n’en fais pas moins mon mea culpa : 1902, c’est bien le XXe siècle !
Back to Top