A te la Corsica regina (Chjami) - In memoria Yvan Colonna

A tè la Corsica regina (Chjami Aghjalesi) - In memoria Yvan Colonna Croire à l’innocence d’Yvan Colonna n’est pas une atteinte à la mémoire de Claude Erignac c’est une lutte contre l’injustice. Pourquoi Yvan Colonna reste-t-il suffisamment emblématique pour déclencher les passions et pour réactiver dans l’île la haine de l’État ? Le 6 février 1998, à Ajaccio, devant le Kalliste, trois coups de feu retentissent. Le préfet Érignac s’effondre. Les témoins voient deux personnes dont un homme blond qui tient l’arme. La scène de crime est expédiée : quelques heures après l’assassinat, le trottoir est lavé et le périmètre de sécurité levé. Au journal télévisé de TF1 du 7 février, un passant brandit une balle récupérée sur les lieux. La police arrive rapidement. À toutes fins utiles, trois Maghrébins sont placés immédiate
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