Les claques du cinéma français.

La gifle était une tradition dans le cinéma français. Ce court instant, dont le bruit résonnait de façon unique nécessitait donc une mise en scène soignée. D’autant plus difficile à réaliser si celle-ci n’était pas réelle. Effet, il existe deux types de claque: celle pour de faux, et celle ... pour de vrai. La première catégorie exige un angle précis de caméra qui donne à l’image l’illusion qu’il n’ y a aucune distance entre la main et la joue. Mais on le sait, les réalisateurs ont souvent privilégié la seconde caté dont la claque est effectivement administrée au partenaire. Et pour cette dernière, les exemples, forcément anecdotiques, ne manquent pas. On se souvient de la gifle reçue en vraie par une jeune fille de 18 ans lors de son premier grand rôle (Isabelle Adjani) donnée par un ancien catcheur (Lino Ventura). Plus vieux encore, la baffe aller-retour qu’a infligé Jean Gabin à Pierre Brasseur dans Quai des brumes. Voici une courte vidéo sur le thème. A vous de voir si c’est du chiqué,
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