Parler avec un(e) QAnoniste, c’est comme parler avec Zack Johnson de The Big Bang Theory. C’est surraliste.

Parler avec un(e) QAnoniste, c’est comme parler avec Zack Johnson de “The Big Bang Theory“. C’est surréaliste. Sauf que vous devez rajouter le caractère vicelard et manipulateur du tueur en série de “Seven“, le niveau de fiabilité d’un Benedict Arnold, le degré de folie d’un Jack Torrance (“Shining“), ainsi que le syndrome Gilles de la Tourette de Regan MacNeil (“L’exorciste“). Le résultat final de cette “hybridation“ est un(e) teubé(e) congénital(e), psychopathe, mythomane, hypocrite, ultra vulgaire et adepte de l’inversion maligne du diable. Je comprends pourquoi ils s’inquiètent autant pour le trafic d’organes : servir de donneurs d’organes serait la seule utilité pour qu’ils pourraient avoir sur terre. Leur système limbique leur permet de comprendre inconsciemment le danger que représenterait l’accession au pouvoir d’un gouvernement froid et pragmatique à la chinoise. Ils préfèrent donc se noyer dans des théories farfelues et surréalistes d’alliance sphinctergalactique menée par le sauveur de l’humanité en la personne d’un catcheur [1] (archétype des matchs arrangés à l’image de la politique) à moumoute blonde platine : Donald Trump. C’est-à-dire un représentant de l’idiocratie [2] à l’image de Zack Johnson. [1] VIDEO. Quand Donald Trump était le héros d’un combat de catch [2] USA 2016: «Idiocracy», le film prophétique sur le phénomène Donald Trump
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