La guerre des ondes en oncologie Professeur Luc Montagnier

La guerre des ondes en oncologie Professeur Luc Montagnier « La planète est maintenant couverte d’ondes électromagnétiques générées par l’homme, et l’on ne sait pas du tout ce qu’il va se passer avec ce brouillard dans lequel nous sommes tous plongés. Il faut savoir qu’il peut y avoir des conséquences sur notre corps biologique, importantes et imprédictibles… » Toute la biologie moléculaire actuelle est basée sur le fait que les molécules biologiques interagissent par contact. Le Pr. Montagnier explique que s’ajoute à cette communication le rôle des ondes (signaux électromagnétiques – SEM) qui agissent par résonnance à distance, et par interférence (6’10) ; ces mécanismes peuvent expliquer l’efficacité de l’homéopathie. - L’eau est un support et un vecteur essentiel d’informations dans notre organisme. L’eau liée à l’ADN est structurée (16’07). On parvient à transmettre de l’information de l’ADN dans des tubes d’eau (17’22). - L’interférence entre l’environnement et les cellules se manifeste sous forme de pics de résonnance électromagnétique (9’09) ; le nombre de personnes électrosensibles est en augmentation (11’35). - La barrière hémato-encéphalique s’ouvre sous l’effet des émissions électromagnétiques, même de basse fréquence (35’35). - Par analyse des SEM liés aux transferts de charges d’électrons très importants entre les molécules, on peut détecter des maladies où la participation d’agents infectieux est maintenant supposée : Alzheimer, Parkinson, Autisme, Sclérose en plaques, Polyarthrite rhumatoïde, certains cancers, les maladies cardio-vasculaires (24’50). Ces micro-organismes contamineraient l’organisme du fait, notamment, de l’ouverture des barrières intestinales et hémato-encéphaliques (27’20). - Autisme : On constate une épidémie d’autisme : 1 enfant sur 50 aux États-Unis, chiffre en forte augmentation depuis peu. L’extrapolation de la courbe actuelle conduirait à 1 enfant sur 2 dans 20 ans (27’47). Ces valeurs sont transposables à la situation partout dans le monde. Dans les cas d’autisme, on constate que la barrière intestinale est rompue (28’30), et l’on identifie des SEM bactériens. Le traitement par antibiotiques permet de mesurer la diminution des SEM conjointement à l’atténuation des symptômes de la maladie. NB : pour suivre plus facilement l’exposé : PCR = polymerase chain reaction ; en français : amplification en chaîne par polymérase. Méthode qui permet de dupliquer en grand nombre et très rapidement (plus d’un milliard de copies en moins d’une heure) une séquence d’ADN ou d’ARN connue, à partir d’une faible quantité (de l’ordre de quelques picogrammes) d’acide nucléique. On peut ainsi détecter la présence du virus VIH, des virus d’hépatites B, C et D, ou mesurer des traces d’OGM. Les premières ADN-polymérases utilisées provenaient d’une bactérie thermophile (résistante à des températures très élevées), par exemple Thermus aquaticus (Taq polymérase). [Wikipedia]
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