Les Ramoneurs de Menhirs - Menez Daou (clip)

“ Quand les squelettes se lancent dans une gavotte endiablée !!! “ - Musique : “Menez Daou“ - Les Ramoneurs de Menhirs ( avec la participation exceptionelle de Louise Ebrel ). - Titre extrait de l’album “Amzer an dispac’h“ (2010). - Images : “The Skeleton Dance“ - Walt Disney Studios ( Silly Symphonie ). - Réalisation et montage : KBBZH. d’infos sur Les Ramoneurs de Menhirs : - La gavotte des montagnes est une danse traditionnelle bretonne (Centre-Bretagne). - Paroles en Breton / Lyrics in Breton : Didostit holl Vretoned, da glevet ur gentel War buhez al labourer eo bet great, n’ eus ket pell Disheñvel meurbet eo stad ar paour-kaezh labourer Disheñvel diouzh stad an dud, pere ’ zo ’ chom e kêr Al labourer ’ renk paeañ, paeañ e pep amzer Paeañ tailhoù d’ar roue, bep bloaz teir pe beder Ha pa renk paeañ e vestr, ma n’eo ket prest an arc’hant Foar ’ vez graet gant e zanvez, amañ an nec’hamant Al labourer, goude-se, a vezo tamallet Gant an dud eus al lezenn e vezo pizh skarzhet Eus e nebeud a vadoù e vezo dibourc’het Had e zanvez o vont kuit, n’eus netra da lavaret En divezh, al labourer, baleet lec’h ma karo E vezo drouk-prezeget, kalz tud hen disprizo Ha koulskoude, ma teufe da soñjal an dud-mañ Diwar brec’h al labourer ’ma ’r bed-holl o vevañ Hor stal ’ zo poanius meurbet, paouez na deiz na noz Ken na cheñcho penn d’ar vazh, ni na ’mo ket repoz. Paroles en français / Lyrics in French : Approchez tous Bretons pour entendre une leçon Elle a été faite sur la vie du travailleur, il n’y a pas longtemps L’état du pauvre travailleur est très différent, Différent de l’état des gens qui habitent en ville (la bourgeoisie). Le travailleur doit payer, payer tout le temps, Payer les impôts au Roi, chaque année 3 ou 4 Et quand il doit payer son maître, si l’argent n’est pas prêt On fera la foire avec ses biens, ici l’inquiétude Le travailleur, après cela, sera accusé Par les gens de la loi, il sera soigneusement ramoné De ses quelques biens il sera dépouillé Et ses biens s’en allant, il n’y a rien à dire Enfin, le travailleur ira où il voudra, Sera calomnié, beaucoup de gens le mépriseront Et cependant, si les gens viendraient à penser Que du bras du travailleur vit le monde entier. Notre affaire est très pénible, ne cesse ni jour ni nuit Tant que cela ne changera pas du tout au tout, nous n’aurons pas de repos - Merci à “toullduBZH“ pour les paroles en breton et la traduction en français.
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