« Mort-né » : les Républicains permettront-ils au Sénat de continuer à aider Israël et l’Ukraine ?

Dans cette séquence diplomatique tendue entre les États-Unis et la Russie, les propos de Victoria Nuland, secrétaire d’État adjointe américaine, réveillent des souvenirs de légèreté politique similaire à ceux d’Hillary Clinton en 2011 lors de la mort de Mouammar Kadhafi. La comparaison entre les deux incidents soulève des questions sur l’approche américaine envers les dirigeants étrangers et suggère une possible escalade du conflit ukrainien. Les “belles surprises“ évoquées par Nuland alimentent les spéculations, laissant entrevoir une implication plus intense des États-Unis dans la région, suscitant l’inquiétude du Kremlin et accentuant les tensions géopolitiques. La répétition de légèreté diplomatique rappelle le rire de Clinton en 2011, accentuant le parallèle entre les deux situations. Les déclarations de Nuland, spécialement lors