L’Arabie Saoudite rompt avec les États-Unis_ Les pays du Moyen-Orient emboîtent le pas. Catastrophe

Le marché mondial vient d’être secoué par une tempête inattendue. Dans un geste qui a laissé les analystes et les économistes en colère, l’Arabie saoudite a déclenché un séisme financier qui ébranle les bases mêmes du marché mondial. Les avoirs du royaume en bons du Trésor américains ont chuté à un niveau stupéfiant, signalant une poussée révolutionnaire pour se diversifier loin du dollar autrefois dominant. Nous avons toutes les informations croustillantes de l’expert, dévoilant les rebondissements de ce complot financier. Mais que cela signifie-t-il pour le marché mondial, vous demandez-vous ? Le dollar continuera-t-il sa danse, ou y a-t-il une nouvelle mélodie à l’horizon ? Les réponses se trouvent dans cette vidéo, vous offrant un siège de choix pour l’évolution de l’économie internationale. Rejoignez-nous pour plonger profondément dans les détails de cette manœuvre révolutionnaire. Mais avant d’aller plus loin, nous vous demandons de cliquer sur le bouton J’AIME et de VOUS ABONNER à Eco politique tv pour de nouvelles actualités sur l’économie mondiale. Cela dit, plongeons directement dans la rupture de la norme. L’Arabie saoudite a marqué un pas notable dans le monde financier en réduisant ses avoirs en bons du Trésor américains en juin. Cette réduction marque le plus bas niveau depuis plus de six ans. Les données du Département du Trésor américain révèlent que le royaume détenait 108,1 milliards de dollars de titres du Trésor en juin, soit une baisse de 3,2 milliards de dollars par rapport à mai, tombant en dessous des 119,7 milliards de dollars qu’il possédait à la fin de l’année précédente. La répartition des avoirs de l’Arabie saoudite indique une répartition entre des obligations à long terme d’une valeur de 99,83 milliards de dollars, représentant 92,3 % du total, et des obligations à court terme d’une valeur de 8,29 milliards de dollars, soit 7,7 %. En juin 2023, l’Arabie saoudite se classait 18e parmi les principaux détenteurs de bons du Trésor américains. Cette initiative s’inscrit dans une tendance plus large qui a vu les Émirats arabes unis également se défaire de leurs bons du Trésor américains, vendant 4 milliards de dollars en juin. Cela survient alors que les Émirats arabes unis poursuivent leur série de deux mois de réduction de leurs avoirs en dette gouvernementale américaine. Leurs avoirs sont passés de 69 milliards de dollars en mai à 65,2 milliards de dollars en juin, selon le rapport mensuel du Trésor américain. Curieusement, les membres du CCG, l’Arabie saoudite, le Koweït et les Émirats arabes unis, ont également participé à la vente de bons du Trésor américains ces derniers temps. Dans le cas de l’Arabie saoudite, ses avoirs en bons du Trésor américains sont passés à 108 milliards de dollars alors qu’elle se déchargeait de 3,2 milliards de dollars d’actifs. De même, la part du Koweït dans les instruments de la dette américaine est passée de 41,4 milliards de dollars en mai à 40,6 milliards de dollars en juin. Bien que ces mouvements aient eu lieu dans la région du Golfe, il convient de noter que les avoirs étrangers totaux en bons du Trésor américains ont augmenté en juin. Cela peut être attribué en partie au Japon, qui a augmenté ses achats de 7 521 milliards de dollars en mai à 7 563 milliards de dollars. Le Japon reste le plus grand détenteur étranger de ces obligations. Cette évolution récente du paysage financier illustre les dynamiques en constante évolution entre les nations et leurs investissements, ainsi que les changements plus larges dans l’économie mondiale. Au mois de juin, le pays du Golfe a décidé de faire bouger les choses avec sa dette gouvernementale américaine. Ils ont vendu plus de 3 milliards de dollars de titres, et devinez quoi ? Ce n’est pas la première fois qu’ils sont en pleine frénésie de vente - c’est leur troisième mois consécutif à le faire. Leurs avoirs s’élèvent désormais à 108,1 milliards de dollars, selon les données dignes de confiance du Département du Trésor. Les Émirats arabes unis ne sont pas en reste non plus.
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