Tu nous embêtes, Elisabeth ( #Borne, parodie de #thomasfersen )

Ma contribution à l’accueil de la nouvelle première ministre de la Macronie ressuscitée. Musique : “Elisabeth“ de Thomas Fersen Écrit et chanté par le Chanteur à Gages #elisabeth #borne #ministre #macronie #bornout #parodie #cover Paroles : Macron a trouvé son bouche-trou Pour la France quelle figure de proue Mais ce sera pas Fidel Castro Ça fouette, cet entre-soi de trop J’ai ce sentiment de rancœur Tes réformes me serrent le cœur Tes origines tu dissimules Tu prends les français pour des mules Tu nous embêtes Élisabeth Tu nous embêtes Élisabeth Il leur fallait une Margaret Une dame de fer en plus discrète Et puis tout est cousu de fil blanc De casseroles et de faux-semblants Pour tes collègues t’es une psychose Regarde, j’ai trouvé le pot-aux-roses Quitte à avoir quelqu’un d’ toxique Au moins que ce soit pas une vieille bique Tu nous embêtes Élisabeth Tu nous embêtes Élisabeth Tu finiras au tribunal Et puis au mitard, point final Au mitard, c’est encore trop beau Car la potence ou le poteau Seraient peut-être dignes de toi Nul n’a jamais voté pour toi Quand un mensonge sort de ta bouche J’ m’allonge en rêvant d’une fausse-couche Tu nous embêtes Élisabeth Tu nous embêtes Élisabeth Fais pas croire qu’t’es une enfant de chœur En précarisant les chômeurs Qui ont des larmes plein les yeux Parce que tout leurs acquis prennent feu Tu t’y connais en autoroute En pantouflage sans aucun doute Toutes ces magouilles sortent de ton crâne Tu nous prends vraiment pour des ânes Tu nous embêtes Élisabeth Tu nous embêtes Élisabeth Pont C’est l’heure de passer aux aveux Et tu n’es plus qu’à un cheveu Que toi et tous tes copains Constamment mis en examen Oublier de déclarer des trucs En plus des chiffres que tu truques Car si tu mens comme tes copains Ce sera le coup du lapin Tu nous embêtes Élisabeth Tu nous embêtes Élisabeth C’est vrai, que t’y es d’puis longtemps C’est vrai, que depuis plus de 30 ans C’est vrai, que t’ as menti souvent Et encore une fois, t’es au gouvernement Et tu vas nous r’jouer de la clarinette Avec tes serpents à sornettes T’a tout détruis nos droits sociaux Ravale donc ta bave de crapaud Tu nous embêtes Élisabeth Tu nous embêtes Élisabeth Il leur fallait une Margaret Une dame de fer en plus discrète Et puis tout est cousu de fil blanc De casseroles et de faux-semblants Pour tes collègues t’es une psychose Regarde, j’ai trouvé le pot-aux-roses Quitte à avoir quelqu’un d’ toxique Au moins que ce soit pas une vieille bique Au savoir-faire de chalumeau Et un caractère de chameau