⭐⭐⭐⭐⭐DOSSIER SENSIBLE : BASCULER LA SEXUALITÉ DES ENFANTS DANS LE DOMAINE DE LA SANTÉ POUR IMPOSER UN PROGRAMME ‼

⭐⭐⭐⭐⭐DOSSIER SENSIBLE : BASCULER LA SEXUALITÉ DES ENFANTS DANS LE DOMAINE DE LA SANTÉ POUR IMPOSER UN PROGRAMME ‼ Lorsque les cours de sexualité ne font plus partie de l’Éducation Nationale mais de la santé c’est-à-dire l’OMS, ce ne sont plus les professeurs qui interviennent mais des intervenants de l’extérieur. Nous ne pouvons pas comparer ! De plus, et c’est le plus grave, sur le point du consentement pour les mineurs, les juges pourront statuer sur le fait que l’enfant savait à quoi s’en tenir puisqu’il y a des cours sur la sexualité ! Écoutez jusqu’au bout ! 😳 On se réveille là ? ➡️🇫🇷 Question d’une auditrice : “Ces cours qui existent depuis plusieurs dizaines d’années consistent en 2 h en 6e primaire et 2h en 4e secondaire, donc ceux que vous avez suivis aussi, ne consistent en rien dans les mensonges obscènes que vous racontez...“ Réponse : ➡️ Ariane BILHERAN : Nous avions effectivement des cours sur la contraception, sur l’anatomie... Sauf que les programmes ont changé et l’âge des enfants qui auront ces cours aussi. ➡️ Me Virginie de Araujo-Recchia : Le texte de loi en France a été débattu au parlement... Marie Thérèse Boisseau : “Cette éducation n’est pas l’affaire des parents, au risque de paraître brutale, je dirais qu’ils sont très maladroits et qu’ils ne sont sans doute pas les mieux placés en ce domaine... Elle n’est pas non plus l’affaire des professeurs... Elle est l’affaire des intervenants extérieurs.’’ Donc le planning familial. L’inquiétude sur le consentement. Les mineurs n’étaient pas concernés par le consentement, ils étaient trop jeunes, hors aujourd’hui s’ils reçoivent une formation sexuelle, les tribunaux pourront argumenter qu’ils savaient à quoi s’en tenir ! (Extraits de : (1h28) @Kairospresse:0/evras-interdit-deparler:6)
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