“Brigitte Macron serait un homme“. Cette plainte qui change tout dans l’affaire ?

“Brigitte Macron serait un homme“. Cette plainte qui change tout dans l’affaire ? La Première dame française, Brigitte Macron, a été confrontée depuis plusieurs années à des rumeurs persistantes remettant en question son genre, la qualifiant d’homme plutôt que de femme. Ces allégations, souvent propagées sur les réseaux sociaux, ont récemment été évoquées par sa fille, Tiphaine Auzière, dans une interview accordée à Paris Match le 29 février 2024. Dans ses déclarations, Tiphaine Auzière exprime son inquiétude face au niveau de la société qui semble accorder du crédit à de telles rumeurs infondées. Elle souligne également le préjudice que cela peut causer, notamment en termes de désinformation et de propagation de fausses nouvelles. En effet, elle souligne que la désinformation sur les réseaux sociaux est un problème croissant et qu’il est essentiel d’être bien entouré pour y faire face. La fille de Brigitte Macron exprime également sa colère face à la facilité avec laquelle des accusations infondées peuvent être lancées et diffusées en ligne. Elle met en lumière le défi de faire retirer ces contenus une fois qu’ils ont été diffusés, soulignant ainsi les conséquences néfastes de la désinformation sur Internet. Les rumeurs sur le genre de Brigitte Macron ont été initialement lancées par deux femmes, Amandine Roy et Natacha Rey, qui ont avancé des théories infondées dans une vidéo partagée en 2021. En réponse, une plainte a été déposée contre elles pour atteinte à la vie privée, violation du droit à l’image et violation des droits de la personnalité. Natacha Rey a même été placée en garde à vue à deux reprises dans le cadre de cette affaire, suscitant des critiques quant aux méthodes utilisées par les autorités pour la réprimer. L’avocat de Natacha Rey, Frédéric Pichon, a dénoncé une intimidation disproportionnée de la part des autorités, soulignant que si les allégations étaient si absurdes, pourquoi s’en prendre ainsi à sa cliente. Cette réaction souligne les enjeux de liberté d’expression et de lutte contre la désinformation qui se confrontent parfois de manière complexe dans le contexte des médias sociaux.
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