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L’Affaire Santos : Symbole d’une Violence Renouvelée sur Mme Mateluna
Au cœur d’une tourmente sans précédent, l’affaire Santos transcende le simple cadre juridique pour toucher aux fibres les plus sensibles de notre humanité. Mme Claudia Mateluna, marquée par un passé violent, trouve en Santos, son husky, non seulement un refuge émotionnel mais aussi une raison de se battre. Ce chien de soutien émotionnel, prescrit par son médecin, se retrouve aujourd’hui au centre d’un conflit qui révèle les failles béantes de notre système.
Dans ce contexte difficile, il est essentiel de reconnaître le rôle de Mr. José Manuel qui a été le phare dans l’obscurité pour Mme Mateluna. Ayant extrait Mme Mateluna de cet enfer de violence par le passé, il lui a offert Santos, un geste qui a profondément transformé sa vie. Mr. José Manuel continue de se battre à ses côtés, témoignant d’une solidarité et d’un engagement inébranlables face à l’adversité
Santos, plus qu’un animal, est le phare dans la tempête de Mme Mateluna, un soutien émotionnel vital dans sa convalescence d’une violence passée. Cette réalité, malgré sa documentation médicale, a été effacée, comme insignifiante, par les rouages administratifs, mettant en lumière une indifférence glaçante face au bien-être animal et humain.
Le combat de Mme Mateluna contre la ville de Charlemagne n’est pas sans rappeler les sombres heures de son passé. Les menaces et l’isolement imposés par la partie adverse ne font qu’exacerber son traumatisme, la replongeant dans un cycle de violence psychologique orchestré, cette fois, non seulement par des individus, mais par une machine administrative froide et calculatrice.
Le cas de Santos se noircit davantage avec l’aval donné par M. Goyet, figure de proue de l’administration de Charlemagne, au Carrefour Canin de Joliette. L’établissement, maintenant sous les feux des projecteurs pour ses pratiques douteuses envers Mme Mateluna ,on apprend que M. Goyet, directeur général de Charlemagne, aurait récemment attribué une note de 5 étoiles au Carrefour Canin de Joliette sur Google, l’établissement même qui détient Santos et dont la responsable souhaite son euthanasie. Une ironie amère qui souligne l’absurdité d’un système prêt à sacrifier l’innocence sur l’autel de la bureaucratie.
La bataille de Mme Mateluna et Santos n’est pas qu’une histoire de détention injuste; c’est le miroir d’une société qui, à la croisée des chemins, doit choisir entre l’indifférence et l’empathie. Le Québec se trouve face à une interrogation cruciale : allons-nous permettre que l’histoire de Santos ne soit qu’un chapitre sombre de plus dans nos annales, ou serons-nous les artisans d’un changement, prêts à réparer les brèches de notre conscience collective ? La détresse de Santos et de Mme Mateluna doit être le catalyseur d’une révolution du cœur et de l’esprit, pour que jamais plus l’administration ne soit le bourreau silencieux de ceux qui ont désespérément besoin de notre protection et de notre voix.
Il est à noter que personne ne met en doute que l’enfant, victime de blessures suite à ce malheureux incident impliquant Santos, a lui aussi subi des traumatismes. Cependant, cette affaire est emplie d’incohérences, de contradictions et de revues administratives. Aujourd’hui, nous nous posons la question : à qui profite ce cirque politique, administratif et médiatique ? Ni à l’enfant, ni au chien, qui se trouvent être deux victimes dans ce chaos indescriptible.