Vous êtes de trop. Vous êtes tous des “surnuméraires“.

Cette semaine, mes chers Grenésiens, je voulais partager avec vous, une petite histoire que j’avais envie d’écrire. C’est une modeste nouvelle. Elle s’appelle “Surnuméraire“. Surnuméraire. Qui est en surnombre. Se disait également (jusqu’en 1948) des employés de grade inférieur ou non titularisés. J’aime ce mot. Enfin aimer est un bien grand mot. Disons que dans ce mot, on ressent toute la puissance destructrice dont l’homme est capable. On ressent tout le potentiel génocidaire de l’idée. C’est un mot qui déshumanise. Un mot qui décrit parfaitement nos maux et nos vicissitudes. Je voulais, en cette période si particulière, si dangereuse, si violente, partager avec vous, cette réflexion philosophique sur la place de la déshumanisation dans les massacres. Une réflexion aussi sur la nécessité de la paix et de la compréhension qu&
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