Parisennes - Soan.

On se lève d’un silence et déjà j’y reviens, Qu’elle est belle ton absence à ne me laisser rien, C’est demain quand tu rêves et les mots défendus, Si le vin te relève, j’ai bu. On se lève d’un silence et déjà j’y reviens. Serait-ce ton absence qui pleure sur mes mains? C’est le bruit d’une étincelle et le ciel ne sait pas, Si le vin te rappelle, je bois. Mille et une pensées, j’ai pas reconnu la mienne De mes amours de hyène, je t’ai mordu les pieds, Je t’aime comme on aime dans les chansons, Du fin fond des nuits parisiennes. On se lève d’un silence à l’écriture bancale, En plus j’y vois que dalle, il pleut sur mon cahier, Les autres me bousculent ou c’est moi je sais plus Je m’en vais mes mains brûlent, les rues. Si le ’po’ de poème, c’est la peau sur tes z’os, Fais de m
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