Le cri noir de Francis Cabrel (анализ текста песни Cent ans de plus)

Литературная хроника журналиста Luc Perry Wandji CENT ANS DE PLUS Cent ans dans la peau de l’esclave et juste après cent ans de plus Chercher des miettes sous les tables avant que les blancs ne marchent dessus Dormir sur des paquets de planches Chanter mais seulement le dimanche Oh, tu vois la femme noire Dans le rôle de la bonne Avec tout à côté Tout tordu son bonhomme Après ça faut pas que tu t’étonnes C’est eux qui ont fait Eux qui ont fait Son House et Charlie Patton Howlin’ Wolf et Blind Lemon Bien rouge le sang de l’Afrique sur la jolie fleur du coton La toute nouvelle Amérique, la belle démocratie “welcome“ Bateaux déportant les villages Au bout de l’immense voyage Gravé dans la mémoire Pour des années-lumière Chaque larme d’ivoire et chaque collier de fer Après ça faut pas que tu t’étonnes C’est eux qui ont fait Eux qui ont fait Son House et Charlie Patton Ma Rainey et Robert Johnson Toujours plaire aux marchands de fantômes, c’est eux qui ont fait Elle qu’on achète et lui que l’on donne, c’est eux qui ont fait Naître avec la peine maximum, c’est eux qui ont fait Mais toujours vivant dans ce que nous sommes, c’est eux qui ont fait Ce peuple interdit du reste des hommes, c’est eux qui ont fait Cherchant le bleu des anciens royaumes, c’est eux qui ont fait C’est eux qui ont fait faut pas que ça t’étonne Son House et Charlie Patton Ma Rainey et Robert Johnson Son House et Charlie Patton Son House et Charlie Patton Ma Rainey et Robert Johnson
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