ORWELL / LES ONDES

Depuis l’aube des années 2000, le groupe Orwell, emmené par Jérôme Didelot, trace un chemin original sur les terres de la production musicale française. Les modes et les tendances semblent ne pas avoir de prise sur le groupe nancéien, qui a su développer une esthétique qui lui est propre, entre délicatesse francophone et sophistication musicale. Cinq ans se sont écoulés depuis le dernier album, Exposition universelle. Pour ce retour sous la forme d’une Parcelle brillante, Jérôme Didelot s’est plongé dans les histoires de l’écrivain Theodore Sturgeon, auquel il a d’ailleurs emprunté le titre de l’album. Orwell, projet sous-estimé et mené depuis le début des années 2000 par le Nancéien Jérôme Didelot, est l’énième illustration que la France est une terre de pop. Il y a chez lui, depuis le début, une démarche d’esthète. Parcelle brillante prolonge cette recherche sonore. Chaque titre regorge de petites trouvailles, de petits détails qui donnent du relief à ces chansons. Un disque truffé de références et clins d’œil. On serait en peine de donner quelques qualificatifs à cet univers singulier. Sunshine pop ? Raffinement exquis ? Un soleil qui brillerait sans brûler la peau. [MAGIC RPM] Ce sixième album reste fidèle à ses fondamentaux de raffinement et de délicatesse. [ROCK’N’FOLK] « Parcelle brillante » perpétue cette élégance pop à la française qui n’a pas toujours été reconnue à sa juste valeur. Quand on dit élégance, on ne parle pas que de la voix douce et traînante de Jérôme mais aussi de sa science des arrangements pour flûte, violons, violoncelle, marimba et vibraphone qui tissent un monde brillant avec Les ondes en guise de Dérivation car on n’en a Jamais assez (avec Armelle Pioline). [LE MAD-LE SOIR] Tout est là pour rivaliser avec les plus grands mélodistes de l’Hexagone. [NICE MATIN] Dans des vapeurs pop, qu’il est plaisant de se balader dans cette étendue éclairée par les mélodies délicates, presque susurrées. Et à la nuit tombante “Dors encore” referme tendrement la grille de cette belle parcelle. [LONGUEUR D’ONDES] Avec « Parcelle brillante », septième album du groupe, la palette musicale est toujours aussi riche mais s’échappe vers des horizons nouveaux. [LE TELEGRAMME] Le perfectionnisme du groupe est incontestable et en fait un précieux ambassadeur d’une pop à la française. [MAGAZINE FRANCOFANS] Une dizaine de chansons aux lignes mélodiques éclatantes se succèdent ensuite, toutes servies par une production minutieuse, mettant en valeur chaque détail d’une orchestration raffinée. [FANFARE POP] Un pré carré bien délimité dans un univers musical sagement gardé par un artisan mélodiste hors pair, le tout produit avec une classe infinie, un grand disque de pop à la française dans la lignée d’un « Cannibale » de Dalcan, avec des arrangements merveilleux qui n’auraient pas déplu à Sean O’ Hagan. Raffiné et Beau, Tendre et Fragile, un grand album de 2020. [L’INDEPEN-DANCE] Cette collection de chansons bien écrites et pertinentes est un joli voyage dans une pop indie cotonneuse et délicate. [MUSIC IN BELGIUM] « Parcelle Brillante » s’impose presque immédiatement comme une pièce maîtresse de la pop musique française. Fascinant vaisseau musical survolant les plus beaux paysages mélodiques qui soient – de Brian Wilson à Divine Comedy – sans craindre des embardées plus étranges. [INDIEPOPROCK] On retrouve dans ce disque une musique où tout est soigné : l’écriture, le sens mélodique, les arrangements, les textes (chantés en français) et la production. Car si ce Parcelle Brillante est comme un long fil pop tendu, ce n’est pas un long fleuve tranquille. Jérôme Didelot a un peu plus d’ambition ! [FROGGY’S DELIGHT ] On retrouve tout ce qui nous rend Orwell si précieux : cette pop fine et légère aux refrains entêtants, consciente de son glorieux passé et ne se coupant pas de son histoire, avec toujours cette maniaquerie d’artisan aimant faire resplendir ses chansonnettes. [POP NEWS] Dopotutto è chiaro fin dalle note iniziali del malinconico strumentale “Dérivation” che anche questo nuovo album degli Orwell usa le strategie del pop per conquistare la mente e non il corpo. Sarà eufemistico e visionario, ma Jérôme Didelot conosce bene non solo l’arte delle sette note, ma anche quella del canto, ed è infatti un solo brivido di voci in sincrono alla maniera dei Beach Boys (“Dors Encore”) l’ultimo tassello di questo raffinato pop retrofuturista. [ONDAROCK]
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