QUI EST DIEU ?

Qui est Dieu? Voila une question qui doit amener, si réponse, il y a, une vérité bien présomptueuse… Mais bon tant pis, je vais risquer les foudres divines et l’égarement possible de l’initié en quête de vérité…. Si je ne peux pas vraiment vous dire qui est Dieu et pour cause, j’affirme avec forte conviction, savoir qui il n’est pas. « L’homme a été créé à l’image de Dieu ». Voila donc toute la base de ma réflexion. Si c’est le cas, nous pouvons inverser cette proposition et admettre en retour, que l’homme est lui-même à l’image de Dieu. On ne peut pas dire alors qu’en observant l’homme du XXI e siècle et bien avant également, dans ses grandes oeuvres, qu’il donne une image de Dieu particulièrement glorifiante. Car alors comme l’homme, tous ceux qui nous dirigent, Dieu assisterait à tout le chaos que nous vivons depuis des milliers d’années, les bras croisés, sans jamais intervenir, pire en l’entretenant : laisser et faire éclore les guerres, les famines, les épidémies, l’orgueil et la cupidité généralisées, sans jamais rien interdire? Voila donc un Dieu, à l’image de l’homme et ce dernier bien aussi à l’image de son créateur, un Dieu vengeur, un Dieu jaloux, un Dieu pervers, pour tout dire un Dieu PERVERS NARCISSIQUE. Mais ne voila pas là, cette description de SATAN, ce Dieu, fils de « l’autre », qui a supplanté son père sur la Terre et qui, dans la pure logique psychanalytique freudienne, tente désespérément de « tuer le père ». Mais dans ce cas précis, nous devrons admettre que si c’est le cas, ce Dieu Satan, cette « grande gueule » que l’on retrouve partout sur la Terre, au plus haut niveau de l’État, au sein des administrations, parmi tous ceux qui dirigent des sectes associatives politiques, religieuses ou autres, n’est qu’un dieu non abouti, un fils qui n‘a pas réussi sa conversion au monde, un fils qui est resté en arrière et qui tourne en boucle dans sa tête tous les loupés de son enfance. Cela signifie alors que notre Dieu, ce Dieu de l’Église, n’est que la représentation pathologique, orgueilleuse, perverse, du vrai Dieu universel, du Dieu de l’Égypte ancienne, qui lui, à l’image de Thôt ne raisonne pas en terme de bien ou de mal mais, dans l’épreuve du Jugement dernier, c’est à dire au terme de la vie de chacun de nous, uniquement en terme d’équilibre. Ta vie aujourd’hui, est-elle équilibrée ou ne l’est-elle pas? Et pour qu’elle le soit, c’est à dire « justifiée », cela veut dire aussi que j’ai dû par moi-même réaliser un travail, tout au long de mon existence. Je n’ai pas été parfait, jamais, loin de là, mais j’ai appris je crois à reconnaître mes erreurs sur moi-même et sur les autres, et à corriger du mieux que j’ai pu, tous les déraillements que j’ai occasionnés. Et ce travail, je le poursuis encore aujourd’hui, en mon âme et conscience. Dieu, à notre image, c’est ce personnage là, multiple, complexe, d’abord BINAIRE, comme l’homme l’est durant sa fière et insolente maturité, mais Dieu, c’est aussi cet homme qui corrige ses erreurs pour en avoir pris conscience. A ce stade là, en conscience, à ce rapport à lui-même, à ce rapport avec l’autre, avec les autres, DIEU DEVIENT UNE ENTITÉ TERNAIRE. CONSCIENCE, voila Dieu, le vrai Dieu qui se révèle à nous, par ses efforts, par sa patience, par sa souffrance silencieuse, par son abnégation, par sa foi infaillible en la vie, et surtout par son amour pour ses enfants. Le Christ est bien le fils de Dieu, il l’est devenu en conscience, par la conscience, par l’élévation de sa conscience, par son travail SUR LE CHEMIN. Jung avec son processus d’individuation montre la voie, une de celle qui conduit à Dieu. Aujourd’hui, ce 23 septembre 2017, CHRIST a déjà grandi parmi beaucoup d’entre nous. Désormais, c’est une autoroute qui s’ouvre à lui pour continuer l’ensemencement des consciences. Vous tous et vous toutes que je connais bien et qui s’adressent souvent à moi, en ce jour 23 septembre 2017, ne craignez rien, ni pour vous ni pour vos enfants, ce jour ne marque pas une fin mais bien au contraire soyez en sûr un recommencement. François Chabaud David : “l’entre-soi“
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