Les Franc-Maçons (loges) sont l’arbre qui “coupe la route“ (...)

Ils ont besoin de détourner l’attention (de vous posséder) pour durer. Un franc-maçon a besoin de votre vie (voire de votre âme) pour continuer à croire en son histoire (à durer ; à résister grâce à vous encore entre leurs mains et/ou pouvoir). Je crois en la ré-incarnation, en l’au-delà et en l’ascension. Donc je crois ni en la vie éternelle (en la suggestion d’une postérité) et ainsi en les idoles (qu’en a une rente à vie, paradis terrestre je n’en parle même temps). Une idole malgré l’effet qu’elle vous fera, coûte cher EN VIE (en ressource pour continuer à repousser l’ennui, la nuit et/ou à vous posséder). Le dernier lien avec la vie Quel est le dernier lien à la vie ? Avec la terre L’être et à travers lui, l’énergie accroche une matière (le temps) ; c’est à dire que l’énergie tiendra aux mots parce que les mots permettent de voir, de savoir et/ou d’avoir une notion de soi (d’avoir, du temps et à travers de la ressource, vie, espoir ainsi). L’énergie à travers l’être tiendra à (accrochera) des choses (attirera la matière) car derrière sa parole (ou des choses) il sera en fait question de l’identité (nom, prénom, fonction ; de sa présence d’esprit et d’âme). Je crois que le dernier lien à la vie c’est le nom et le prénom car ensuite il n’y a plus de mots ou de mal en un sens (de peau). Le mal est une perte de sens et/ou le fait de supporter (d’incarner) des choses pour retenir l’essentiel (extraire le jus) ressortir sous un jour au regard de tenir à rien ou de ne plus rien supporter ; faire effet (aimer). Je rappelle que le sens (la ressource) est dans la matière et/ou ce qui prend vie (forme) pour en parler au regard où ça n’est pas d’actualité (que des choses ne font plus effet). Avec le temps il est question de sens c’est-à-dire de distance pour être proche ou sinon éloigné (plus présent à l’esprit). Lorsqu’une personne aime alors elle aura (ressent le) besoin de l’avoir (de se battre pour ; parce que ça lui parle, lui fait du bien ; cet effet) ; autant que lorsqu’elle n’aimera pas alors elle mettra les « voiles » c’est à dire une distance ; partir autant qu’arriver est une vue d’esprit Au sujet du temps il sera ainsi question de distorsion (de toucher à cette matière ; au temps) pour être dedans (au courant) au regard d’être dans le noir (pas du tout touché). C’est bien la ressource (le sens lorsque ça prend forme) qui permet de savoir, de voir et/ou de coller (de faire l’affaire) au fait au regard de ne pas être légitime, fait pour des choses ou à sa place (où les autres vont le voir). Ce sont bien les autres autours de leur sujet (projection) qui leur permet de croire en leur histoire (en ce qu’ils sont et font), de s’y retrouver encore dedans au regard d’avoir rien trouvé pour faire leur preuve et/ou leur trou (d’être dans le dure, le trou et/ou in-défini). Pour moi l’autre existe (ressort) pour assurer ce lien en (relativisera ça en) leurs personnes car (sinon) sans ça perdre alors l’esprit (la forme) les mots (cesser d’être). Une personne meurt ainsi et/ou elle perdra son temps (et son énergie car l’un ne va pas sans l’autre ; l’énergie se barre). Raison pour laquelle le temps d’une vie il faudra à l’énergie une chose qui lui permet de se sentir encore proche (capable) de ce qui lui manquerait sinon cruellement dans la vie (à l’esprit). Pourquoi à chaque ré-incarnation, l’énergie reprend une identité et ainsi qu’elle perdra la mémoire de ses vies (incarnations) d’avant ; et cela jusqu’à la fin des temps. Il faut ainsi que l’être le temps d’une vie sorte de son je (le supporte) sans que ce soit la mort (« fin », grave que ça lui coûte) pour s’éviter la peine de devoir à nouveau repasser par l’objet (les autres) pour être animé (en vie) au regard d’être mort (arrêté dans son élan). Une idole est rien d’autre que l’énergie qui reprend vie (forme) c’est à dire qui reviendra à l’objet (attirera la matière) qui lui permettra de se retrouver au travers de ce qui lui permet de faire concrètement sa vie (impression) grâce au monde autours (conquis) avant de la perdre à nouveau (puisqu’elle réalise rien d’autre là, à part un culte). Pour moi chercher à se faire un nom et/ou de l’argent est une erreur en soi car l’être se condamne en réalité à revenir à la vie indéfiniment ; c’est à dire à la nuit (à la matière) pour tenter de conserver ce qu’elle perdra forcément sauf à travers le mal que la figure se donnera encore pour se renforcer (durer) et/ou pouvoir garder bêtement la mémoire (ses biens). Qu’est-ce qu’une personne est au fond, sans (en perdant les mots ou sa) mémoire (son passé) ? Il est possible de distordre le temps (d’interagir sur cette matière) pour mettre autant une distance que se rapprocher (être présent à l’esprit). Il est autant possible d’éclairer (supporter) que de ruiner au fond ; autant qu’une personne le fera en prenant le pouvoir (dessus et/ou le contrôle) sur autrui. Une présence d’esprit est rien d’autre que de l’espace dans le temps (une lumière dans la nuit).
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