Un rabbin légitime la pédophilie et la zoophilie.

La pédophilie est autorisée dans le Judaïsme sur des enfants de moins de 3 ans, la zoophilie est autorisée par des garçons de moins de 9 ans. Ces propos criminels trouvent leur source dans la pensée juive. Il s’agit ici de la vidéo complète illustrant des interdits sexuels dont traite le Talmud, bien que l’homosexualité et la zoophilie soient interdites, il semblerait que cela soit parfois possible, selon l’âge! Traité Qiddouschin: “R. Hiya a enseigné: On peut épouser contre argent (remis au père) une fille âgée d’un jour et une fille de 3 ans et un jour par la cohabitation. En effet, dit R. Mena, notre Mischna prouve que l’on peut se marier même à une enfant d’un jour, puisqu’il y est dit: “Si quelqu’un dit à son prochain vouloir engager d’avance la fille que sa femme mettre au monde, ce sera une parole nulle“. Elle est nulle, parce que l’enfant n’est pas encore au monde; mais si cette enfant existait, on admettrait sa consécration comme effective.“ Jean 8: 44 “Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge.“ Apocalypse 3: 9 “Je te donne des membres de la synagogue de Satan qui se prétendent juifs sans l’être et qui mentent. Je les ferai venir se prosterner à tes pieds et reconnaître que je t’ai aimé.“ Il s’agit d’une vidéo du Site de la synagogue de KLC à Marseille. Si vous voulez demander des comptes à ce rabbin (Rav Mamouch Fenech) parfaitement représentatif du judaïsme: Adresse: 177 Rue Paradis, Marseille, France Tél: 0484188953 La chaîne youtube qui diffusait cette vidéo (elle a été supprimée) se nomme “KLC Marseille“. “HAYAV“ (terme utilisé par le rabbin concernant des hommes / femmes de 9 ans et 1 jour qui ont une relation avec un animal): tenu de ... Expression de la nécessité, astreinte à payer dommages et intérêts après une condamnation au pénal ; obligation de mise en œuvre d’un précepte impératif supérieur à la simple notion de devoir. Exemple: “HAYAV MITA“: Passible de la peine de mort. Expression d’une condamnation morale catégorique mais purement formelle, la peine de mort étant tombée en désuétude au Sanhédrin depuis le début du Ier siècle.
Back to Top