UN JUIF QUI S’ISLAMISE

#Finkielkraut #islam #amour #aliénation #musulman #lejournaldepersonne Il s’appelle Alain… de loin on dirait Finkielkraut. Essayiste et sophiste qui a toujours manqué de respect pour les femmes soumises ou conquises par l’Islam. Il vient de publier une sorte de récit : je vous restitue sa perle à la lettre : « L’amour relève de l’emprise et cette emprise est une bénédiction. Aimer, c’est être dominé, subjugué, assujetti. Aimer c’est passer après ». Que c’est beau quand bien même ce serait faux. Que c’est vrai, quand bien même ce serait exagéré. On dirait que le philosophe islamophobe s’est débarrassé enfin de tous ses microbes avant de se glisser dans la plus divine des robes : celle de l’amour absolu. Je le cite, je le sollicite en parcourant son récit disant qu’une certaine aliénation rend la liberté incertaine…C’est trop beau même si ce n’est pas du mot à mot, et qu’il me pardonne ma déclinaison. Un juif qui s’islamise à l’insu de son plein gré, juif désabusé qui nous a longtemps fait croire que nous étions par l’islam abusés. Ce que vous venez d’écrire gentleman, est le plus bel hommage rendu à la femme musulmane, que vous venez de cerner peut être grâce à son voile de pudeur et de ferveur… un seul bémol, cette douce soumission que vous décrivez caractérise en islam deux inclinations : l’inclination de l’amant devant l’aimé et l’inclination de la créature devant le créateur… je, tu il, nous passons après. Bienvenue en « Islamie ». Qui l’eût cru ?
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