Brichel: condamnées, Natacha Rey et Amandine Roy font appel. Jean-Michel Trogneux toujours invisible

Les trois juges et le procureur de la république, qui siégeaient à la 17ème chambre du tribunal correctionnel de Paris, le jour du procès, ont été nommés par Macron, a expliqué Me François Dangléhant, qui a dénoncé “une escroquerie au jugement“ et “une justice française congénitale“ : L’énigmatique Jean-Michel Trogneux! En route vers le troisième acte, qui verra éclater la vérité après l’appel du jugement déposé par Natacha Rey et Amandine Roy. Affaire Brichel. Les magistrats de la 17ème chambre du tribunal correctionnel de Paris ont rendu leur jugement, le 12 septembre. Ils ont condamné les prévenues, Natacha Rey et Amandine Roy, à une amende de 500€ chacune, avec sursis de 5 ans, ainsi qu’à verser solidairement euros de dommages et intérêts à Brigitte Macron et euros à son frère, Jean-Michel Trogneux. Rappel de l’affaire. Après la divulgation, par la chaîne d’Amandine Roy, des résultats de l’enquête menée, pendant trois ans, par Natacha Rey, sur les doutes, qui entourent la personnalité réelle de Brigitte Macron, cette dernière a porté plainte, le 31 janvier 2022. Cette plainte a été suivie par une mise en examen des deux prévenues. Le procès, initialement prévu en 2025, a été rapproché et s’est tenu le 19 juin, en l’absence remarquée des plaignants Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux. Depuis 2017, avec une amplification, à partir de 2021, suite au travail d’investigation de plusieurs enquêteurs, l’affaire Brichel s’est propagée sur internet et à travers le monde. Une rumeur persistante, aujourd’hui, dans la mesure où l’acteur central de ce drame, celui dont on cite constamment le nom, Jean-Michel Trogneux, est apparemment introuvable. Ce jeudi 12 septembre, comme le 19 juin dernier, il était absent, une fois encore le grand absent, alors que co-plaignant avec sa sœur Brigitte Macron, pour des faits reprochés à Natacha Rey et Amandine Roy, qui n’avaient rien à voir avec la transsexualité. Toujours invisible, telle l’Arlésienne, cet énigmatique Jean-Michel Trogneux, alors qu’il est la clé du problème de l’identification de la personnalité réelle de Brigitte Macron. Il lui suffit d’apparaître physiquement et publiquement, en compagnie de sa sœur, ou de produire des preuves irréfutables de la réalité de son existence, pour faire taire une bonne fois pour toutes la rumeur, qui empoisonne la sphère présidentielle. Hélas, c’est en vain que, dès le début de son enquête, Natacha Rey a tenté de retrouver le grand frère de Brigitte. Où est-il ? Que fait-il ? On (probablement des sources autorisées par le pouvoir macronien) prétend, qu’il a voté aux élections européennes, puis législatives, à Amiens. Une demande de vérification de sa venue au bureau de vote a été adressée au préfet de la Somme, qui avait deux mois pour répondre, et qui n’a pas répondu. Bref, cette affaire Brichel n’est pas terminée. Loin de là! On peut comprendre le coup moral et émotionnel subi par les deux femmes, en particulier Natacha Rey, qui souffre d’un cancer. Toutes deux vont faire appel de ce jugement, qui d’ores et déjà provoque indignation et colère chez ceux, qui ont pris le temps ou se sont donné la peine, de prendre connaissance du dossier. Il suffit (entre autres sources) d’aller sur le site Pressibus et ses Post-Scriptum, pour comprendre que cette affaire n’est qu’à son deuxième acte, le plus rude à en encaisser, après le premier de la plainte. Il y aura un troisième acte, celui de l’appel. Car cette affaire, loin d’être définitivement jugée, promet au contraire des rebondissements retentissants. Tout mon soutien moral à ces deux femmes, en particulier, à Natacha Rey. Verdi Le dossier Pressibus, pour comprendre l’affaire Brichel/Jean-Michel Trogneux :