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⭐⭐⭐⭐⭐ Jonathan Sturel : Et n’allez pas croire que «les choses illégales» que vous pourriez faire sur les réseaux sociaux et qui justifient à ses yeux la nécessité de vous ficher seront des choses comme organiser un acte terroriste, partager du contenu pédocriminel ou appeler nommément à assassiner des gens. Non, les choses illégales dont il parle seront, en plus de celles-là : le simple fait de tenir un «propos transphobe ou homophobe», de dire que Macron est nuisible à la France, qu’il y a trop d’Étrangers en France, que l’avortement est un crime, etc., bref un large spectre de propos que la Machine travaille actuellement à criminaliser. L’idée est évidemment non de «créer un espace sécurisé pour tous sur le numérique» comme ils disent mais de créer une prison mentale qui soit un couloir vers une prison juridique, laquelle pourra aboutir à vous conduire dans une prison tout court, et tout ça pour quelques mots, quelques phrases, quelques idées que vous aurez l’outrecuidance de continuer à soutenir dans un monde dirigé par des gens qui entendent vous l’interdire par l’intimidation et par la force. Au nom du progrès pardi ! D’ailleurs, si le complexe médiatico-politique fait en ce moment monter à ce point le sujet du harcèlement scolaire et du harcèlement sur les réseaux sociaux, c’est pour préparer les esprits à leur faire accepter, «pour la bonne cause», des mesures de contrôle numérique orwelliennes. Il prétend vouloir empêcher que des fous préparent des attentats ou poussent des gamins au suicide pour en réalité pouvoir organiser de dissuasives et punitives descentes de police chez des types dont le crime aura été de simplement critiquer l’immigration ou l’activisme transsexuel & transgenriste sur Facebook.
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