Dalida - Et puis c’est toi

Dalida - Et puis c’est toi (1972) Comme un oiseau blessé qui ne sait plus chanter Comme une corde de guitare qui vient de se briser Comme un soleil qui meurt en plein cœur de juillet Comme une ombre qui pleure sans savoir où aller Comme un jour où l’espoir n’est plus qu’un souvenir Comme un jeu de miroir d’où l’on ne peut sortir Comme une fleur arrachée par le vent et la pluie Comme une heure arrêtée au cadran d’une vie Et puis c’est toi Toi qui ne sera rien de tout cela Tu es venu Avec de l’amour jusqu’au bout des doigts Je tends les bras, tu viens Et je m’étonne à chaque fois Mon amour Comme un hiver sans fin qui n’attend plus l’été Comme l’image d’un matin qu’on ne peut oublier Comme la voix du silence qui vient nous crucifier Comme un soir où l’absence est trop lourde à porter Comme un chemin de pierre qui mène à la dérive Au milieu de la mer où nul ne peut nous suivre Quand le courant nous tire, le hasard nous retient On s’éveille en délire, du sable dans la main Et puis c’est toi Toi qui ne sera rien de tout cela Tu es venu Avec de l’amour jusqu’au bout des doigts Je tends les bras, tu viens Et je m’étonne à chaque fois Mon amour Et puis c’est toi Toi qui ne sera rien de tout cela Tu es venu avec de l’amour jusqu’au bout des doigts Je tends les bras, tu viens Et je m’étonne à chaque fois mon amour
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