Les Filles du feu Gérard de Nerval

#roman En 1851, je passais à Francfort. - Obligé de rester deux jours dans cette ville, que je connaissais déjà, - je n’eus d’autre ressource que de parcourir les rues principales, encombrées alors par les marchands forains. La place du Roemer, surtout, resplendissait d’un luxe inouï d’étalages ; et près de là, le marché aux fourrures étalait des dépouilles d’animaux sans nombre, venues soit de la haute Sibérie, soit des bords de la mer Caspienne. - L’ours blanc, le renard bleu, l’hermine, étaient les moindres curiosités de cette incomparable exhibition... Source: Donneuse de voix : Raminagrobis
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