En France, sucer le pénis d’un bébé, c’est toléré, mais uniquement si on est juif

Dans la tradition judaique, les nouveau-nés mâle subissent le rituel de la circoncision juive (brit milah en Hébreu). Chez les ultra-orthodoxe, cette pratique religieuse s’appelle metzitzah b’peh. Elle est réalisée lors de la circoncision. Le mohel (qui est un professionnel de la circoncision juive) place sa bouche sur le pénis ensanglanté du bébé, et suce le sang de son gland. La tradition dispoe que ce serait pour “désinfecter l’organe encore tout ensanglanté”. Mais en réalité, il est à l’origine de nombreux cas de HIV, d’Herpès, et d’autres maladies transmissibles par le sang, qui ont conduit au décès de nombreux enfants. Ce rituel se fait en présence de toute la famille et les proches, comprenant aussi de jeunes enfants. Officiellement, le Consistoire de Paris ( qui est l’institution consistoriale qui défend les intérêts du judaïsme et nomme le nomme le grand-rabbin de France) a interdit cette pratique depuis 1848 et recommande plutôt l’usage d’une pipette. Mais officieusement, la plupart des mohalim continuent de sucer directement le gland du nouveau-né. Mais alors, pourquoi cette pratique choquante n’est-elle pas considérée comme un acte pédocriminel ?
Back to Top