Henri Salvador Verte campagne

Verte campagne où je suis né Verte campagne de mes jeunes années La ville pleure et ses larmes de pluie Dansent et meurent sur mon cœur qui s’ennuie Et moi, je rêve de toi, oh mon amie Verte campagne, que tu es loin Douce campagne de mon premier chagrin Le temps s’efface, pour moi, rien n’a changé Deux bras m’enlacent parmi les champs de blé Là, dans la ville toutes ces mains tendues M’offrent des fleurs et des fruits inconnus Et moi, je vais le long des rues perdues Un air de guitare me parle de toi Verte campagne où je suis né Douce campagne de mes jeunes années La ville chante, éparpille sa joie La ville chante mais je ne l’entends pas Et moi, je rêve de toi, mon amour Et moi, je rêve de toi, mon amour. (Richard Dehr/Terry Gilkyson/Frank Miller) adaptation française Raymond Mahmoudy/Roger Varnay
Back to Top