Les Conversations n°32 avec F. Asselineau - Justification de l’intransigeance en politique (4/4)

Intransigeant avec la machinerie de Bruxelles, intransigeant avec l’Empire , intransigeant quant à ses alliances politiques, François Asselineau passe souvent pour trop rugueux, et trop solitaire pour parvenir au pouvoir suprême. C’est pourtant à juste titre qu’il fait valoir l’exemple de celui qui reste son maître, le Général de Gaulle, et qui allait répétant : « viser haut et se tenir droit : il n’y a pas d’autre chemin ». Après l’expérience malheureuse avec Charles Pasqua, qu’il relata dans la précédente conversation, après les accommodements que préconisait le RIF, après les sinuosités d’une droite dite nationale qui s’en tient trop ,souvent à l’a-peu-près, quand elle ne cède pas à la paresse intellectuelle, François Asselineau a appris la nécessité d’une certaine intransigeance. En tous sujets, sur la question européenne, sur les rapports avec « l’allié américain », sur
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