“ 17 octobre 61 “ Texte de Patrick Peronne et musique d’Henri Franceschi et le texte.

Rien ne justifie la violence, la cruauté et le meurtre par les forces de l’ordre envers les défilés pour la paix, fussent-ils algériens, harkis, européens ou autres. Merci à Patrick pour la qualité de son texte sur ce pan de l’Histoire ainsi qu’à Véronique pour le choix et la pertinence des photos. 17 octobre 61 17 octobre 61 Papon a lancé ses chiens L’eau de Seine a rougi Du sang de 200 Algériens C’est la bataille de Paris Qui s’en souvient aujourd’hui ? Je m’appelle Fatima Bédar J’ai 16 ans, il fait noir Entre mon lycée et ma maison Il y a un pont, juste un pont Entre ma maison et moi Il y a ces mains, ces doigts Ma gorge qu’ils ont serrée Ce pont d’où ils m’ont jetée 17 octobre 61 Papon a lancé ses chiens L’eau de Seine a rougi Du sang de 200 Algériens C’e
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