Discours de Dakar - En hommage aux peuples en lutte

On me demande beaucoup ma position sur les massacres en cours. Certains me reprochent de ne pas plus en parler. De ne pas ajouter le commentaire au commentaire. L’indignation à l’indignité.Le 30 juillet dernier, alors que le monde les croyait enterrés, je rendais depuis Dakar un hommage aux enfants de le faisais depuis la capitale des damnés, cette terre d’où, jour après jour, partent par milliers des exilé le faisais après avoir risqué ma vie et ma liberté pour défendre un homme, Ousmane Sonko, en qui un peuple s’était pris à espérer. Il n’y a pas de lutte solitaire. Il n’y de lutte isolé n’y a de lutte, conjointe, que pour la souveraineté. Nous n’avons pas attendu le massacre pour nous prononcer. Nous n’avons pas attendu la mort pour continuons, et nous continuerons, à avancer en des terres qui, loin des lumières, portent en jachère la mort qui, en Palestine actuellement, est entrain de se déverser. Nous le ferons pour éviter que leur sang ne vienne, un jour, alimenter les violences qui auront à être commenté le ferons pour que, de l’Afrique vers la mer, la jeunesse cesse de se dé parole ne tremblera pas. Elle continuera d’avancer, sans cesser, sans varier, sans se soumettre aux décisions et calendriers des colons, des maîtres, des pitres et des avariés. Nous sommes ce soir avec tous ceux qui sont en train d’être massacrés, pris comme trop de peuples en tenaille par la violence ivre de ceux qui détestent la justice et la souveraineté.Nous l’avons été hier, nous le demeurons ce jour, et nous le serons sans cesser.
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