Guerre en Ukraine : Vladimir Poutine est-il si nostalgique de l’URSS ? avec Dimitri de Kochko

Avec Dimitri de Koshko Journaliste indépendant Le président russe a assuré, encore une fois, lors de son entrevue avec Tucker Carlson, que son pays “n’aspire pas“ à restaurer l’URSS, ni envahir la Pologne et les pays Baltes. Le Président Poutine a même démontré à travers l’entrevue que la Russie avait obtenu une entente de paix avec le régime de Kiev quelques semaines après le début de l’opération spéciale, mais que le premier ministre britannique de l’époque Boris Johnson est venu saboter. Après la diffusion de l’entrevue du Président Poutine à Tucker Carlson, la réaction de nos dirigeants occidentaux révèle plusieurs aspects qui attirent notre attention... L’ensemble de la meute journalistique occidentale et ses dirigeants, en réaction à cette bombe de destruction massive de l’opinion publique mainstreem, s’accrochent encore à l’idée que le méchant Poutine voudrait recréer l’Union Soviétique. Pour en finir avec ce mythe, l’ancien journaliste et reporteur de guerre de l’AFP Dimitri de Kochko répond à mes questions. Carl Brochu LES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX SONNÉS PAR L’EFFONDREMENT DE LEUR NARRATIF. Source : [...Après avoir reçu une leçon d’histoire () devant le monde entier, Boris Johnson ou encore Olaf Scholz se débattent comme ils peuvent pour tenter de garder un semblant de contrôle du flux d’information parvenant à leurs populations. «Nous ne devons pas tomber dans ce tissu de mensonges, surtout concernant l’idée que Poutine est en quelque sorte destiné à réussir en Ukraine», a ainsi estimé l’ex Premier ministre britannique. Boris Johnson à des raisons très personnelles de ne pas vouloir que les gens s’attardent trop sur ce que raconte le président russe, puisqu’il est accusé d’avoir fait capoter les négociations de paix, qui avaient abouties au début du conflit (). Une thèse Un fait historique confirmé par le régime de Kiev à plusieurs reprises (), notamment par David Arakhamia (), le responsable ukrainien des négociations qui se sont tenues à Istanbul. De son côté, le chancelier allemand s’est contenté de s’accrocher à un mensonge qui ne convainc plus personne en dehors du cercle très restreint des élites occidentales, accusant Moscou d’avoir des objectifs impérialistes. «L’histoire de la cause de cette guerre est complètement absurde», a-t-il jugé. Moins absurde que le fait que l’Allemagne n’ai pas bougé le petit doigt à la suite du sabotage de Nord Stream...]
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