François Asselineau, le temps est venu d’arrêter les conneries ! Liste France Libre aux Européennes.

Christian Cotten, Directeur de campagne de la liste France Libre aux élections européennes du 9 juin 2024 François Asselineau, le temps est venu d’arrêter les conneries ! Cher François Asselineau, président de l’UPR, cher résistant, Soyons clairs dès maintenant : non, tu ne seras jamais président de la République Française. Celle-ci n’est plus qu’un cadavre chaud que nous allons bientôt euthanasier. Par contre, si tu veux bien m’écouter jusqu’au terme de la présente adresse, tu as une très belle opportunité de devenir effectivement député européen le 9 juin prochain. Il va juste suffire que tu comprennes bien les très beaux cadeaux que Francis Lalanne et moi-même t’offrons ici aujourd’hui. Comme il aime à me le rappeler, Francis Lalanne s’est jusqu’ici adressé à toi de manière fort courtoise, car malgré le fait que tu sois républicain et que lui soit démocrate, il toujours eu beaucoup d’estime pour ton action et pour ton érudition. Il se trouve qu’il attendait de ta part au moins la réciproque. Or, si j’en crois les multiples messages chaque jour de plus en plus désagréables si ce n’est franchement agressifs voire injurieux ou menaçants que Francis Lalanne reçoit sur son fil de communication sur X (Twitter) de la part de tes thuriféraires, Dieudonné et lui, en annonçant leur Liste France Libre, la liste de la Libération, la liste des Souverainistes Citoyens vers le Frexit et pour la protection des enfants, seraient des diables qui empêcheraient les « souverainistes sérieux » comme toi ou Florian Philippot, qui joue en miroir avec toi un si déplorable processus de neutralisation mutuelle, d’être élus en juin prochain à Bruxelles pour permettre à la France de sortir de l’Union Européenne. Dans la nuit du 11 au 12 mars vers 3 heures du matin tu as fait circuler sous ta signature personnelle un message sur X (Twitter) que je cite ici intégralement : La candidature Lalanne-Dieudonné est conçue sciemment pour disperser l’électorat et nous nuire. Il faut intervenir en masse pour demander qui va financer le 1 million d’€ minimum pour payer les bulletins de vote, sachant que Francis Lalanne n’a pas un sou. En 2019 déjà, c’était Governatori, un type au service de Macron, qui avait payé… C’est dans ce contexte, cher François Asselineau, que je m’adresse à toi aujourd’hui pour te dire que j’ai décidé de t’offrir le cadeau du recadrage pédagogique que ton agressivité déplacée mérite. Il se trouve, vois-tu, qu’à France Libre, chacun est et demeure souverain. Bien que tous ceux qui l’entourent dans son action soient profondément agacés pour ne pas dire furieux des commentaires désobligeants de tes chiens de garde ou de toi-même à notre égard, Francis Lalanne a refusé de polémiquer avec toi et a préféré t’accorder a priori son pardon, en une démarche toute chrétienne qui lui ressemble bien. Mais le pardon n’est pas l’oubli et il n’évite pas la nécessaire sanction indispensable à la libération de l’âme. En cela, je ne puis être en accord avec Francis LALANNE, malgré notre complicité par ailleurs. Une sanction s’impose dans les présentes circonstances. L’enjeu de la libération de la France des bandes criminelles organisées qui occupent et utilisent nos institutions est bien trop important pour que je reste moi-même envahi par un quelconque ressentiment. Mais tes errements méritent correction. En d’autres temps et autres lieux, j’appelle cela une fessée pédagogique. Ce sera mon premier cadeau. Ton agressivité déplacée à notre égard justifierait un recadrage pédagogique très musclé de ma part, sur le modèle des si poétiques quenelles au sable et à la moutarde : mais si tu y échapperas bien cette fois, baisse les yeux et la tête avec humilité et écoute. Nos concitoyens attendent autre chose de chacun de nous : une véritable union d’une opposition démocratique et citoyenne libérée du contrôle des forces les plus obscures. Sur ce coup-là, ton échec est total et de plus en plus visible pour tous ceux qui ont cru en toi ces dernières années. Lire la suite :
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