Mort de Nahel : pourquoi la Corse ne s’embrase pas

Sans l’attentat perpétré dans la nuit du 2 juillet contre une villa en construction à Bastia (Haute-Corse) pour troubler la quiétude des autorités, on aurait pu parler d’un calme olympien. Pas un seul incident, ni même les signes d’une colère latente et prête à exploser. Si nombre de villes sont en proie à des émeutes sur le continent depuis la mort du jeune Nahel, tué par un tir policier après un refus d’obtempérer lors d’un contrôle routier, le 27 juin à Nanterre (Hauts-de-Seine), ces violences urbaines n’ont pas traversé la Méditerranée. Retrouvez-nous sur : - Youtube : - Facebook : - Twitter : - Instagram : - Tik Tok : @lepointfr - LinkedIn : -
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