GAZA : LIBÉRATION DES OTAGES

#GazaUnderAttack #FreePalestine #otages #Tsahal #Hamas #Palestine #lejournaldepersonne #Gaza #Israël L’échange d’atrocités n’a pas fini de commencer : « Tu m’as tué un enfant, je vais t’en tuer dix » ! Une Injustice pour réparer une Injustice ne rendra jamais aucune Justice ! Qui d’autre règne à part le vice. Entre le Hamas et le Tsahal, il n’y aura plus jamais d’armistice. La vie pour l’un entraîne la mort de l’autre, l’inflige, l’exige… C’est la vérité qui est en état de siège. Aucun des deux protagonistes n’est épargné, ne pourrait l’être désormais. Celui qui a tendu à l’autre un piège est encore plus piégé que celui auquel il l’a tendu… Et le pire n’est pas derrière mais devant nous. Parce que le pire, c’est nous. Parce que nous ne sommes plus dans le coup. Parce que le pire, ce n’est pas celui qui te promet l’enfer. Le pire est celui qui le laisse faire ! Sommes-nous devenus plus fous que les fous pour ne plus distinguer entre ce qui est dessus et ce qui est dessous ? Parce que le piège s’est aussi refermé sur nous : Tous ceux qui soutiennent le Hamas, on les accuse de faire l’apologie du terrorisme. Tous ceux qui soutiennent le Tsahal, on les accuse de faire l’apologie du despotisme. C’est un tropisme que le monde n’a jamais réussi à surmonter. N’avons-nous pas encore compris que nos affections ne viendront jamais à bout de leurs infections ? Nous avons, ils ont, besoin de raison. C’est la seule et unique maison susceptible d’abriter tous ceux qui ont du mal à se supporter. Otages ! Ô désespoir ! Ô bassesse ennemie ! Comment faire pour mettre un terme à cette infamie ? Si j’étais le Hamas je demanderais à Israël d’échanger tous les civils contre des militaires pour ne pas invalider ma rage. Si j’étais le Tsahal, j’accepterais volontiers pour valider mon courage. Début et fin du chantage !
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